San Francisco ou le rêve américain moderne
Clarisse Faria-Fortecoëf
(To see this article in English: please click here)
Avec 2,8 millions d’habitants, 60 000 résidents français dont de 10 000 à 15 000 travaillent dans la high-tech et un taux de chômage de 5,8 %, San Francisco et la région de La Baie bénéficient de l'implantation de grands groupes tels que Google, Apple ou Facebook, de technopoles dont, la Silicon Valley, ainsi que de nombreuses start-up ayant des besoins importants en personnel qualifié allant d'un bac +5 minimum au doctorat.
Avec 2,8 millions d’habitants, 60 000 résidents français dont de 10 000 à 15 000 travaillent dans la high-tech et un taux de chômage de 5,8 %, San Francisco et la région de La Baie bénéficient de l'implantation de grands groupes tels que Google, Apple ou Facebook, de technopoles dont, la Silicon Valley, ainsi que de nombreuses start-up ayant des besoins importants en personnel qualifié allant d'un bac +5 minimum au doctorat.
Considérée comme le plus grand réseau d'investisseurs de la planète et identifiée comme une des 15 villes "à cibler pour tout changer", San Francisco assiste à la création de plus de 60.000 start-up chaque année.
Dans le cadre de la recherche d'un emploi salarié au "royaume des entrepreneurs", les employeurs américains s’attachant plus aux résultats qu’au diplôme, le CV doit adopter un ton vendeur et accrocheur, avec un chiffrage précis des performances du candidat, afin de bien faire ressortir l’intérêt économique de sa candidature.
Si à San Francisco, il n'y a pas de code vestimentaire ou dress code, d'horaires imposés ou de carrière toute tracée, tout n'est pas facile pour autant, à commencer par le coût de la vie. Pour la location par exemple, d'un trois-pièces, il faut compter plus de 3.000 dollars par mois. En même temps, certains emplois sont relativement bien rémunérés. Par exemple, pour les ingénieurs, dont le profil est particulièrement recherché, le salaire s'élève à environ 125.000 dollars par an avec cinq ans d'expérience.
Tout comme dans le cas de pays comme l'Australie (lire notre article de septembre 2014), la plus grande difficulté réside dans l'obtention d'un visa. Vous trouverez des informations utiles à ce niveau sur le site de l'Ambassade des États-Unis d'Amérique à Paris. Sur le site du Consulat de France à San Francisco, des adresses peuvent être également, intéressantes à explorer comme celles du French District, le premier site d’informations en ligne pour les Français et les francophones qui vivent, visitent ou s’intéressent aux États-Unis (cf. par exemple, la rubrique "S'expatrier" ou encore, la page consacrée à la loterie carte verte aux USA (US green Card Lottery) ou Diversity Immigrant Visa program) .
Parmi les solutions : créer sa propre entreprise dans des secteurs porteurs comme la High-Tech, le Web ou les technologies vertes.
Mais avant de s'implanter à San Francisco, il est conseillé de lancer sa start-up en France (aides publiques possibles), puis ensuite, de partir prospecter sur place, avec un visa touriste, par exemple. Préparer aussi, le terrain en prenant de nombreux contacts via les réseaux sociaux (LinkedIn, Eventbrite, Meetup...).
Cela peut se faire également, à l'occasion d'un événement tel que celui qui se déroulera du 15 au 18 mars 2015 à Austin (Texas), le SxSW (South by Southwest), un rendez-vous mondial majeur et incontournable pour les créateurs d'entreprises, notamment dans le numérique et le digital content. Vont participer à cette manifestation, 15 start-up françaises sélectionnées par Business France (résultat de la fusion depuis décembre 2014 entre UBIFrance, agence chargée d'accompagner les entreprises à l'export et de l'Agence française pour le développement international des entreprises (Afii)), organisation visant notamment, à favoriser le développement des entreprises françaises à l'international. Business France a également, conclut un accord avec le French Tech Hub, implanté à San Francisco et Boston et un accélérateur de croissance pour les entreprises High Tech françaises aux États-Unis.
Les données ci-dessus proviennent en partie de l'article publié en août 2014, sur le site de capital.fr : "S’expatrier à San Francisco : le nouvel American Dream se mérite".
Dans le cadre de la recherche d'un emploi salarié au "royaume des entrepreneurs", les employeurs américains s’attachant plus aux résultats qu’au diplôme, le CV doit adopter un ton vendeur et accrocheur, avec un chiffrage précis des performances du candidat, afin de bien faire ressortir l’intérêt économique de sa candidature.
Si à San Francisco, il n'y a pas de code vestimentaire ou dress code, d'horaires imposés ou de carrière toute tracée, tout n'est pas facile pour autant, à commencer par le coût de la vie. Pour la location par exemple, d'un trois-pièces, il faut compter plus de 3.000 dollars par mois. En même temps, certains emplois sont relativement bien rémunérés. Par exemple, pour les ingénieurs, dont le profil est particulièrement recherché, le salaire s'élève à environ 125.000 dollars par an avec cinq ans d'expérience.
Tout comme dans le cas de pays comme l'Australie (lire notre article de septembre 2014), la plus grande difficulté réside dans l'obtention d'un visa. Vous trouverez des informations utiles à ce niveau sur le site de l'Ambassade des États-Unis d'Amérique à Paris. Sur le site du Consulat de France à San Francisco, des adresses peuvent être également, intéressantes à explorer comme celles du French District, le premier site d’informations en ligne pour les Français et les francophones qui vivent, visitent ou s’intéressent aux États-Unis (cf. par exemple, la rubrique "S'expatrier" ou encore, la page consacrée à la loterie carte verte aux USA (US green Card Lottery) ou Diversity Immigrant Visa program) .
Parmi les solutions : créer sa propre entreprise dans des secteurs porteurs comme la High-Tech, le Web ou les technologies vertes.
Mais avant de s'implanter à San Francisco, il est conseillé de lancer sa start-up en France (aides publiques possibles), puis ensuite, de partir prospecter sur place, avec un visa touriste, par exemple. Préparer aussi, le terrain en prenant de nombreux contacts via les réseaux sociaux (LinkedIn, Eventbrite, Meetup...).
Cela peut se faire également, à l'occasion d'un événement tel que celui qui se déroulera du 15 au 18 mars 2015 à Austin (Texas), le SxSW (South by Southwest), un rendez-vous mondial majeur et incontournable pour les créateurs d'entreprises, notamment dans le numérique et le digital content. Vont participer à cette manifestation, 15 start-up françaises sélectionnées par Business France (résultat de la fusion depuis décembre 2014 entre UBIFrance, agence chargée d'accompagner les entreprises à l'export et de l'Agence française pour le développement international des entreprises (Afii)), organisation visant notamment, à favoriser le développement des entreprises françaises à l'international. Business France a également, conclut un accord avec le French Tech Hub, implanté à San Francisco et Boston et un accélérateur de croissance pour les entreprises High Tech françaises aux États-Unis.
Les données ci-dessus proviennent en partie de l'article publié en août 2014, sur le site de capital.fr : "S’expatrier à San Francisco : le nouvel American Dream se mérite".
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